2 halfs en 2 semaines : c'est le défi que Mathieu s’est lancé il y a un an. Dans cet article, il vous fait le compte rendu de son 2ème triathlon, le half d’Ironlakes en Belgique.
Etudiant, la fin d’année était, pour moi, synonyme de période d’examens. Les mois de décembre et de janvier étaient donc intenses et parfois riches en stress!
Maintenant que les études sont derrière moi, la fin d’année rime plutôt avec convivialité et bonnes résolutions!
Mais pas seulement…
Cette période correspond également à la fin de la saison de triathlon et un bilan s’impose.
Heureusement pour vous et moi, il ne nécessite aucun dur labeur!
Et comme les compétitions sont passées probablement pour la plupart d’entre nous, ce bilan tombe à pic…
Lorsque nous nous tenons à une tâche, à un objectif ou à un programme d’entrainements, nous sommes concentrés sur ce que nous faisons … Excellente chose même si, parfois, cela fait du bien de se détacher un peu de notre « focus »!
Et il est intéressant d’avoir une vision plus globale et extérieure sur ce que nous faisons. Le bilan de fin de saison joue justement un peu le rôle d’un entraineur qui voit les choses de manière différentes que l’athlète lui-même…
Il va nous permettre d’analyser notre parcours des derniers mois.
C’est alors l’occasion de tirer des leçons de certaines erreurs et d’ajuster petit à petit les défauts de notre programme d’entrainements et/ou de courses pour les saisons suivantes. Cela mettra aussi en évidence les bonnes choses que nous devons garder, continuer pour la suite de notre pratique du triathlon 🙂 .
Un tel bilan est donc comme un regard plus objectif sur nous-mêmes, qui peut compléter nos sensations perçues lors d’un chrono réalisé en compétition.
D’année en année, nous accumulerons ainsi des traces de ce que nous avons accompli ainsi que les différentes étapes de notre évolution… ce qui sera toujours utile pour la suite de notre « carrière »!
Je pense que le point essentiel d’un bon bilan réside dans notre capacité à se poser des bonnes questions et à y répondre du mieux possible et de la façon la plus objective qui soit.
Je vous propose, ici, une série de 7 questions que vous pouvez vous poser :
Je conseillerais, tout d’abord, de prendre une feuille + de quoi écrire ou d’ouvrir un nouveau document Word et d’y indiquer la date.
Un endroit calme et où vous ne serez pas dérangé semble propice à un bon bilan.
Nous pouvons, alors, simplement commencer par rédiger un court résumé de notre saison pour avoir un aperçu de ce dont on parle et se remémorer les moments forts…
Ensuite, pour chaque question de la liste ci-dessus, nous énoncerons les différents points de notre réponse, de préférence sous forme de liste. En effet, notre cerveau y est plus sensible car la structure de nos idées est alors meilleure que dispersée dans un long texte en continu.
Le mensonge n’étant pas dans notre intérêt, nous veillerons à rester objectifs dans nos réponses…
J’ai l’intime conviction que ce type de démarche peut sincèrement nous faire progresser en triathlon!
Ce type de bilan reste, d'ailleurs, un très bon outil dans les autres domaines de notre vie.
Nous n’avons que très rarement l’occasion d’avoir un coach comme les pros. Alors, en appliquant ceci, nous devenons en quelques sortes, notre propre coach. Par la même occasion, il s’agit d’une clé pour progresser d’année en année.
Je viens d’expliquer 1 manière de réaliser un bilan de fin de saison mais le principal est de trouver votre façon de faire. C’est bien là, une démarche personnelle et donc personnalisable.
Donc, lorsque vous aurez un peu de temps devant vous dans les prochains jours, installez-vous confortablement pour faire ça sérieusement…
Vous pouvez très bien remplacer un de vos entrainements de la semaine pour l’écrire. Ce ne sera pas du temps perdu! Que du contraire… Personnellement, je le fais depuis maintenant 2 ans et cela me permet d'y voir beaucoup plus clair dans mon entrainement et ma progression, ce qui, jusque maintenant, me réussit assez bien.
Pour plus de convivialité et d’objectivité, ou si cela semble compliqué, pourquoi ne pas réaliser cela en binôme avec un partenaire régulier d’entrainement ou un autre ami triathlète?
Et si d’autres questions supplémentaires vous semblent intéressantes, ajoutez les à votre liste et touchez-en moi un mot aussi.
Je vous laisse donc expérimenter ce bilan sur votre saison de triathlon. Et merci de me transmettre vos impressions.
On progresse ensemble 🙂
2 halfs en 2 semaines : c'est le défi que Mathieu s’est lancé il y a un an. Dans cet article, il vous fait le compte rendu de son 2ème triathlon, le half d’Ironlakes en Belgique.
Pour ce compte rendu de l'XL de Gerardmer, on vous raconte la magnifique journée qu’on a vécu.
Une chose est sûre, c’est qu’il y a eu quelques moments amusants et stressants.
Je vous propose de voir ensemble comment choisir le premier triathlon auquel vous allez participer (distance, profil, lieu, matériel, etc). Je vais également vous donner quelques conseils pour surmonter cette peur du 1er triathlon.
Enchaîner une séance de renforcement musculaire ou de PPG avec une séance d'entraînement en natation, vélo, ou course à pied pour augmenter les effets de votre séance tout en gagnant du temps.
Dans cet article, je vous explique comment agencer les écrans de votre montre GPS pour afficher les données qui vous sont les plus utiles pour l'entrainement natation, vélo et course à pied.
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